Tome 7 – Le Temps retrouvé
434 : 7. Le Temps retrouvé | Toute la journée, dans cette demeure
435 : J'eus du reste l'occasion, pour anticiper
436 : Je ne voulus pas emprunter à Gilberte sa Fille aux yeux d'or
437 : Je m'arrêtai là, car je partais le lendemain
438 : 7.2 M. de Charlus pendant la guerre | Cette disposition-là, les pages de Goncourt
439 : Le salon Saint-Euverte était une étiquette défraîchie
440 : Tous ces téléphonages de Mme Verdurin
441 : Quarante-huit heures n'étaient pas passées que certains faits que j'appris
442 : Je parlai à Saint-Loup de mon ami le directeur du Grand Hôtel de Balbec
443 : Ils n'étaient pas restés à Tansonville
444 : C'est ainsi qu'ayant voulu aller chez Mme Verdurin
445 : Au temps où je croyais ce qu'on disait, j'aurais été tenté
446 : La guerre se prolongeait indéfiniment
447 : C'est comme au théâtre quand on dit
448 : Que cette parenthèse sur Mme de Forcheville
449 : Je pensai aussitôt à Combray
450 : Après le raid de l'avant-veille, où le ciel avait été plus mouvementé que la terre
451 : Mais il faut revenir en arrière. Je descends les boulevards
452 : Tout d'un coup le patron entra, chargé de plusieurs mètres de grosses chaînes de fer
453 : Je descendis et rentrai dans la petite antichambre où Maurice
454 : Comme il est simple ! jamais on ne dirait un baron
455 : Tout en me rapprochant de ma demeure, je songeais
456 : Dans ce livre où il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif
457 : 7.3 Matinée chez la princesse de Guermantes | La nouvelle maison de santé
458 : Quand Jupien eut aidé le baron à descendre
459 : Mais c'est quelquefois au moment où tout nous semble perdu
460 : Mais le souvenir douloureux d'avoir aimé Albertine
461 : Un rayon oblique du couchant me rappela instantanément un temps
462 : L'idée d'un art populaire comme d'un art patriotique
463 : Comment la littérature de notations aurait-elle une valeur
464 : Il n'est pas certain que, pour créer une oeuvre littéraire, l'imagination et la sensibilité
465 : Certes nous sommes obligé de revivre notre souffrance particulière
466 : Si je m'étais toujours tant intéressé aux rêves
467 : 7.4 Le Bal de têtes | À ce moment le maître d'hôtel
468 : Certes, dans les coulisses du théâtre
469 : Presque aussitôt après quelqu'un parla de Bloch
470 : En plusieurs, je finissais par reconnaître, non seulement eux-mêmes
471 : Il y avait des hommes que je savais parents d'autres
472 : Chose curieuse, le phénomène de la vieillesse semblait dans ses modalités
473 : Mais après cette anticipation, revenons trois ans en arrière
474 : Encore la sensation du temps écoulé et d'une petite partie disparue de mon passé
475 : Du reste, il faut bien dire que cette ignorance des situations réelles
476 : Plus d'une des personnes que cette matinée réunissait
477 : Une dame sortit, car elle avait d'autres matinées
478 : Je regardais Gilberte, et je ne pensai pas
479 : Or pendant ce temps avait lieu à l'autre bout de Paris
480 : Cependant je remarquai, sans aucune satisfaction d'amour-propre
481 : Bloch s'étant approché de nous
482 : La vie de la duchesse ne laissait pas d'ailleurs d'être très malheureuse
483 : Par moments, sous le regard des tableaux anciens réunis par Swann
484 : Mais comment puis-je vous parler de ces sottises
485 : Enfin cette idée du Temps avait un dernier prix pour moi
486 : Maintenant, me sentir porteur d'une oeuvre
487 : Fin | Ce serait un livre aussi long que Les Mille et Une Nuits